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Structalis utilise le BIM dans tous ses projets

Nos études d'ingénierie sont effectuées sur des maquettes numériques. Ceci augmente notre flux de collaboration avec nos partenaires.

Structalis est un bureau d'étude BIM

Le BIM, la maquette numérique, et les outils tels que REVIT sont présents à toutes nos phases projet.
Nos références BIM

Structalis est un bureau d’étude BIM, qui mène aussi des missions d’AMO BIM, de BIM Management, et de Synthèse Architecturale et Technique en sur maquette numérique. Aussi, lors de nos prestations d’ingénierie, nous sommes un bureau d’études qui proposons nos prestations en mode BIM. Nous effectuons nos représentations d’ingénierie sur maquettes numériques, avec des outils BIM.

Témoignage client:
"Merci à toute l'équipe pour vos conseils et votre dispo. Votre approche BIM était bien la bonne, bravo! À très vite pour une autre aventure !"

et B I M!!!

Le « bim » est d’abord un acronyme. Il désigne l’expression anglo-saxonne « Building Information Modelling ». Si on ose une transcription littérale en français, cela donnerait : « modélisation des informations de la construction». Il s’agit de l’ensemble des processus permettant d’utiliser l’information dans le cycle de vie d’un ouvrage (de la conception à la démolition). Revenons plus en détail sur l’acronyme ou la traduction littérale, afin d’explorer d’avantage ce qu’est le BIM.

La lettre B désigne le terme Building, ce qui en français renvoi au terme « construction ». En effet, les processus visés par le BIM se rapportent à l’ensemble des constructions. Le BIM s’intéresse aux bâtiments, aux ouvrages d’art, au génie civil, et plus généralement, à tout ouvrage construit.

Cette lettre désigne le mot Information. C’est le terme le plus important de l’acronyme, car c’est bien ici où se situent les avancées portées par le BIM. Les processus de représentation de l’information dans le monde de la construction sont sans cesse en évolution.  D’abord, les années 70 ont été marquées par l’abandon progressif de la représentation des informations à la main au profit de la représentation assistée par ordinateur. Les années 90 ont été témoin de l’émergence de la représentation des informations en mode 3D. Le BIM, s’inscrit précisément dans cette continuité, en passant un cap supérieur : les représentations en 3D ne se bornent plus, à une simple représentation d’ensembles de traits qui au final représentent visuellement un objet, mais à des représentations où l’objet porte de l’information en lui.  Ci-après un exemple concret de différences entre une représentation 3D simple, et une re présentation permise par des processus BIM : Pour une représentation 3D simple avec un outil « traditionnel », une poutre en béton peut être représentée comme parallélépipède rectangle avec une couleur. Avec les outils BIM, on représente une poutre en 3D comme un parallélépipède rectangle avec une couleur, à la seule différence qu’avec cet outil BIM, en cliquant sur l’objet poutre, celui-ci révélera l’ensemble des informations qu’a voulu renseigner l’opérateur lors de la représentation de cette poutre : longueur, largeur, classe de résistance du béton, quantité  d’armatures, poids de la poutre, résistance à la flexion, prix du béton utilisé…

L’opérateur peut renseigner pour cet objet toutes les informations qu’il souhaite, il n’y a pas de limitation. Cette illustration indique que les outils BIM, font porter aux objets représentés une masse importante d’informations. Cette information est généralement très utile, car permet un usage efficient des outils : possibilité de générer rapidement des nomenclatures, cahiers de charges, plannings, etc.

Ceci n’est qu’un exemple d’usages permis par les processus BIM. En effet, les processus BIM permettent potentiellement d’autres utilisations de l’information . Par exemple, les échanges simplifiées d’informations, précisions de l’information, utilisation dynamique des informations etc…

La lettre M renvoie au terme Modelling, qui signifie modélisation. Les processus BIM, ont pour sujet la représentation des éléments construits, ou à construire. Cette modélisation peut prendre plusieurs formes : relevés d’existant, conception d’un projet, simulation techniques sur un objet modélisé etc… Nous avons indiqué que le BIM est un processus, mais n’y a-t-il pas lieu de comprendre ce qu’est un processus ?

Avantages du BIM

Reduction des couts:
Réduction des émissions carbone:
Amélioration des estimations financières:
Amélioration gestion de planning
Facilitation des échanges
Consultation entreprises améliorée
Optimisation de synthèse
Production d'un DOE complet et amélioré

Quel sont nos OUTILS bim?

Gagnez en INTEROPERABILITE avec les IFC

Nous travaillons avec les formats natifs, mais aussi avec les IFC. Dans le monde de la construction, pour faire face à ce problème de format propriétaires, et permettre une interopérabilité des logiciels entre eux, une organisation internationale a vu le jour dans les années 90. Cette organisation qui s’appelle Building Smart est basée aux Etats Unis, et possède des représentations dans plusieurs pays. La représentation française se nomme MediaConstruct. Plus globalement, cette organisation vise à développer les bonnes pratiques dans le BIM.

Concernant l’interopérabilité des outils BIM, BuildingSmart a proposé en 1997, un format qui se nomme IFC ( Industrie Foundation Classes). Ce format est un format de fichier numérique, destiné à être le standard de fichiers dans le monde de la construction afin de résoudre les problèmes d’interopérabilité. BuildingSmart incite les éditeurs de logiciels à rendre leurs logiciels capables de lire et de générer des fichiers IFC (en plus des formats natifs des logiciels.)

Ce format IFC a été adopté par plusieurs grands éditeurs de logiciels, et a même été adoptée en norme ISO (norme ISO 16739).

En pratique, les outils permettent de générer des fichiers numériques dans le format propriétaire, et en format IFC. Le format de fichier IFC est donc un fichier qui « est censé » être équivalant au format de fichier natif et mais qui a l’avantage de pouvoir être utilisé par d’autre logiciels (qui doivent être capable de lire les fichiers IFC.)

On trouve ainsi dans le marché, des logiciels certifiés pour l’import ou pour l’export de fichiers IFC, ainsi que des logiciels certifiés pour effectuer l’import et l’export.

Malheureusement on se rend compte dans la pratique que les fichiers générés dans un format natif et dans un format IFC, ne sont pas équivalents : il y a une perte d’information lors de l’export IFC , par rapport au fichier.

Le format IFC s’utilise comme format d’échange de maquettes numériques, mais d’autres formats d’échange s’utilisent dans des contextes spécifiques.

Par exemple :

    • Les documents non graphiques sont parfois échangés dans un format nommé Cobie. Ce format est un format d’échange de données dans le bâtiment très utilisé au Royaume Uni.

    • CityGML est un format de fichier d’échange concernant les ouvrages et objet dans les maquette de représentation à une échelle urbaine ( ville etc.)

    • GbXML (pour greenbuildingXML), est un format d’échange de fichier utilisé lors de la génération de maquettes numériques destinée à l’analyse environnementale, thermique etc

    • LandXML, est un format d’échange utilisé dans le cadre de travaux de travaux publics, ( route,géomatique, tunnel etc…)

    • Format BCF : Format d’échange de fichiers, dont le contenu liste les problèmes de maquettes numériques.

Nota :

Les IFC sont un format de fichier. Or ce format de fichier est encore en développement, ainsi, il existe plusieurs version d’IFC, et donc plusieurs format d’IFC, allant de l’IFC1.0 à l’IFC5

 

Projets "BIM" réalisés en phase exé
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Projets "BIM" réalisés en maitrise d'oeuvre
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Confiez nous votre projet BIM !

Nos missions en tant que Bureau d'étude Structure et BIM

Plan d’exécution structure béton armé sur maquette numérique (phase chantier):

Les plans d’exécution structure béton armé en maquette numérique sont particulièrement délicats. Ceci car il s’agit ici de représenter les armatures qui constituent les ouvrages avec des outils de représentation complexes, et de générer des nomenclatures dynamiques.

Notre bureau étude structure produit les plans d’exécution de béton armé en BIM.

Les outils qui sont disponibles et qui permettent de représenter les plans d’armature sont principalement REVIT et TEKLA.

Il est à noter que la majeur partie des bureau d’études et des maîtrise d’oeuvre qui représentent des maquettes numériques utilisent le logiciel REVIT.

La réalisation de la maquette numérique en phase chantier est particulièrement délicate. Il s’agit ici de représenter en 3D des objets avec une très forte précision. Dans certains cas, nous préférons garder certains détails en représentation 2D en phase chantier.

Mise au point de charte et cahier de charge BIM:

La charte BIM est un document transverse à tous les projets du maître d’ouvrage. Cette charte défini les grandes raisons pour lesquels le maître d’ouvrage à recours à des processus BIM. En effet, les processus BIM permettent un nombre conséquent d’utilités ( maitrise des délais, des couts, réduction impact carbone etc…), dans la charte BIM, le maître d’ouvrage indique quel est son intérêt d’utilisation du BIM à travers ses projets.

Le cahier de charge BIM, est un cahier de charge qui est spécifique au projet. C’est le maitre d’ouvrage qui l’édite.

Par la suite la maîtrise d’oeuvre ( ou l’assistant à maîtrise d’ouvrage), édite une convention BIM qui va faire vivre le volet BIM du projet.

Mission de BIM management:

La mission de BIM management est confiée par la maître d’ouvrage à une structure tierce, qui est responsable uniquement de la veille à la production par les différents intervenant d’une maquette numérique propres à ces intervenants. Il est important de bien retenir que le BIM management n’est pas une mission de synthèse. La mission de synthèse est bien séparée de la mission de BIM management. Cependant, la synthèse peut être menée avec des outils BIM. La mission de BIM management est assurée par un BIM manager.

Mission de synthèse ( avec outils BIM):

En qualité de bureau d’études, nous menons des missions de synthèse. Nous menons nos  missions de synthèse architecturale et techniques avec les outils BIM. Les outils nous permettent de mieux mener la synthèse architecturale et technique. La synthèse avec une maquette numérique permet de visualiser de manière précises les interférences entre les différents corps d’états. Les outils permettent entre autre de visualiser les détections de clashs entre les différents corps d’états techniques. Cependant ces outils ne sont pas tout le temps utilisé: une synthèse sans outils BIM est parfois plus rapide. Lorsque tous les bureaux d’études intervenant sur une opération sont en mode BIM, alors on peut effectuer une synthèse BIM.

BET Structure et maquette numérique:

En qualité de bureau d’études structure, nous menons nos études de conception et d’exécution structure en BIM.  Celà implique qu’en phases de conception, nous proposons les différents ouvrages dans la maquette numérique du projet. Et lorsque nous intervenons en phase d’execution, nous produisons nos plans d’execution structure intégrables dans des maquettes numériques.

Bureau d’étude  BIM:

Notre bureau étude structure est de plus en plus orienté sur la production d’études de conception et d’exécution en mode BIM. Les approches sont différentes qu’on soit en conception ou en exécution. Les BET ont plus de facilité à proposer des études de conception en mode BIM que des études d’exécution. Ce constat est fait car, d’abord en conception il y a moins d’acteurs qu’en exécution, mais aussi les maquettes numériques ont du mal à supporter des  détails. Alors en phase d’exécution, les BET proposent des maquettes numériques avec des détails d’exécution en lien 2D.

Choisissez le Niveau de BIM de votre maquette

On distingue 3 niveaux, que l’on appel les niveaux de maturité du BIM ( oubien les degrés de maturité du BIM). Ces niveaux sont appelés Niveau1/ Niveau2/ Niveau3.

    • Le niveau 1 correspond à un niveau où les échanges entre les différents acteurs de la construction s’effectuent avec des format hétérogènes, incluant peu de compatibilité entre les outils utilisés. Les échanges se font bien souvent avec des rendus 2D. Le niveau 1 permet peu d’interopérabilité.

    • Le niveau 2 correspond à un niveau de où il y a une bonne interopérabilité entre les différents acteurs. Tous les acteurs adresse leurs maquettes numériques au BIM manager, qui se charge de concaténer les maquettes des différents intervenants pour produire une master maquette.

    • Le niveau 3 du BIM correspond à la production d’une maquette numérique par l’ensemble des intervenants d’une manière simultanée. Les acteurs échangent sur une même plateforme afin de produire la maquette numérique.

NIVEAUDEBIM

BIM